Une tactique plus disciplinée face à l'existence
armonikasanssonx
~SchnapsIdee~
Vendredi 8 décembre 2006 à 21:10
.Bousiller mes GodasSes.
.De la maison au lycée.
.C'est pas une vie .
.Penser à elles.
.Elles ont envie.
.De partir .
.Sur de longs chemins.
.PousSiéreux.
.Pour vivre.
.Moins longtemps.
.Certes.
.Mais tellement mieux!
Jeudi 7 décembre 2006 à 19:34
Il n'y a pas d'ailleur, tu sais que ta vie est ici..
Je ne suis pas pudique, j'me cache par ridicule c'est tout.
Viens à moi et tu me véras Envie de faire des photo.. bientot le weekend, bientot..
Mercredi 6 décembre 2006 à 6:41
Ce qui est sure c'est que j'ai des courbatures!
Et oui la dure réalité du sport ça tiens ^^'
Mardi 5 décembre 2006 à 6:53
Les passionnés se ressemblent, et qui se ressemblent...
Lundi 4 décembre 2006 à 6:31
Vous vous mettez sérieusement à déprimer, marie. La peur de l'avenir vous fait voir la vie en noire. Quelle mouche vous pique en ce moment ? Des ressources intérieures, vous êtes loin d'en manquer pour faire face à n'importe quelle situation.
Des fois j'aimerais croire ce qu'ils racontent.. des fois..
Mercredi 29 novembre 2006 à 17:01
[ Nager dans la brume ]
*
Crier la vie quand tout haut on se tait.
Envie d'un vergé enneigé pour pouvoir crier ma réalité.
Regardes moi.
Mais tu ne pourras que me voir..
*
[ Marcher sur un nuage ]
Mercredi 29 novembre 2006 à 6:54
de signicatif en ce moment…
c'est pourquoi je regarderai fixement
cette putain de roche
Lundi 27 novembre 2006 à 17:42
*J'aime boire du jus d'orange.*
*Un fond de tasse.*
*Et que des fond de tasse à la suite.*
*Juste pour que le bord de la tasse touche mon nez.*
=p
MoutOn <3
Lundi 27 novembre 2006 à 6:52
Des mOts rien que des mOts.
Et bah je les emmerde tous autant qu'ils sont.
Na.
Dimanche 26 novembre 2006 à 12:45
**
. On grandi trop vite .
. Sérieux moi, j'ai du mal à tout suivre .
. Et pourtant je m'acroche .
. A ma famille .
. A mes Gens .
. A un Lui non-présent .
. A ce Tout qui n'est Rien .
. Je veux redevenir Gamine .
Samedi 25 novembre 2006 à 17:48
A la pâle clarté des lampes languissantes, sur de profonds coussins tout imprégnés d'odeur Hippolyte rêvait aux caresses puissantes qui levaient le rideau de sa jeune candeur . Elle cherchait, d'un oeil troublé par la tempête, de sa naïveté le ciel déjà lointain, ainsi qu'un voyageur qui retourne la tête vers les horizons bleus dépassés le matin . De ses yeux amortis les paresseuses larmes, l'air brisé, la stupeur, la morne volupté, ses bras vaincus, jetés comme de vaines armes, tout servait, tout parait sa fragile beauté .
Etendue à ses pieds, calme et pleine de joie, Delphine la couvait avec des yeux ardents, comme un animal fort qui surveille une proie, après l'avoir d'abord marquée avec les dents . Beauté forte à genoux devant la beauté frêle, superbe, elle humait voluptueusement le vin de son triomphe, et s'allongeait vers elle, comme pour recueillir un doux remerciement . Elle cherchait dans l'oeil de sa pâle victime le cantique muet que chante le plaisir, et cette gratitude infinie et sublime qui sort de la paupière ainsi qu'un long soupir .
- "Hippolyte, cher coeur, que dis-tu de ces choses ? Comprends-tu maintenant qu'il ne faut pas offrir l'holocauste sacré de tes premières roses aux souffles violents qui pourraient les flétrir ? Mes baisers sont légers comme ces éphémères qui caressent le soir les grands lacs transparents, et ceux de ton amant creuseront leurs ornières comme des chariots ou des socs déchirants ; Ils passeront sur toi comme un lourd attelage de chevaux et de boeufs aux sabots sans pitié . . . Hippolyte, ô ma soeur ! tourne donc ton visage, toi, mon âme et mon coeur, mon tout et ma moitié, tourne vers moi tes yeux pleins d'azur et d'étoiles ! Pour un de ces regards charmants, baume divin, des plaisirs plus obscurs je lèverai les voiles, et je t'endormirai dans un rêve sans fin !"
Mais Hippolyte alors, levant sa jeune tête :
- "Je ne suis point ingrate et ne me repens pas, ma Delphine, je souffre et je suis inquiète, comme après un nocturne et terrible repas . Je sens fondre sur moi de lourdes épouvantes et de noirs bataillons de fantômes épars, qui veulent me conduire en des routes mouvantes qu'un horizon sanglant ferme de toutes parts . Avons-nous donc commis une action étrange ? Explique, si tu peux, mon trouble et mon effroi : Je frissonne de peur quand tu me dis : "Mon ange !" et cependant je sens ma bouche aller vers toi . Ne me regarde pas ainsi, toi, ma pensée ! Toi que j'aime à jamais, ma soeur d'élection, quand même tu serais un embûche dressée et le commencement de ma perdition !"
Delphine secouant sa crinière tragique, et comme trépignant sur le trépied de fer, l'oeil fatal, répondit d'une voix despotique :
- "Qui donc devant l'amour ose parler d'enfer ? Maudit soit à jamais le rêveur inutile qui voulut le premier, dans sa stupidité, s'éprenant d'un problème insoluble et stérile, aux choses de l'amour mêler l'honnêteté ! Celui qui veut unir dans un accord mystique l'ombre avec la chaleur, la nuit avec le jour, ne chauffera jamais son corps paralytique a ce rouge soleil que l'on nomme l'amour ! Va, si tu veux, chercher un fiancé stupide ; Cours offrir un coeur vierge à ses cruels baisers ; Et, pleine de remords et d'horreur, et livide, tu me rapporteras tes seins stigmatisés . . . On ne peut ici-bas contenter qu'un seul maître !"
Mais l'enfant, épanchant une immense douleur, cria soudain :
- "Je sens s'élargir dans mon être un abîme béant ; cet abîme est mon coeur ! Brûlant comme un volcan, profond comme le vide ! Rien ne rassasiera ce monstre gémissant et ne rafraîchira la soif de l'Euménide qui, la torche à la main, le brûle jusqu'au sang . Que nos rideaux fermés nous séparent du monde, et que la lassitude amène le repos! Je veux m'anéantir dans ta gorge profonde, et trouver sur ton sein la fraîcheur des tombeaux !"
- Descendez, descendez, lamentables victimes, descendez le chemin de l'enfer éternel ! Plongez au plus profond du gouffre, où tous les crimes, flagellés par un vent qui ne vient pas du ciel, bouillonnent pêle-mêle avec un bruit d'orage . Ombres folles, courez au but de vos désirs ; Jamais vous ne pourrez assouvir votre rage, et votre châtiment naîtra de vos plaisirs . Jamais un rayon frais n'éclaira vos cavernes ; Par les fentes des murs des miasmes fiévreux filtrent en s'enflammant ainsi que des lanternes et pénètrent vos corps de leurs parfums affreux . L'âpre stérilité de votre jouissance altère votre soif et roidit votre peau, et le vent furibond de la concupiscence fait claquer votre chair ainsi qu'un vieux drapeau . Lion des peuples vivants, errantes, condamnées, a travers les déserts courez comme les loups ; Faites votre destin, âmes désordonnées, et fuyez l'infini que vous portez en vous !"
Hyppolyte et Delphine, de Baudelaire
<3
Samedi 25 novembre 2006 à 10:44
"Tenez bon, chère marie, préparez-vous à un revirement de situation ! Vous êtes probablement arrivée au point de non-retour, soit vous acceptez, soit vous partez. Difficile de prendre une décision quand il vous semble que tout s'écroule autour de vous ! Réagissez, rappelez-vous que ce qui ne vous tue pas vous rend plus forte ! Essayez de prendre un peu de recul, partez quelques jours. Quand vous arriverez à faire le vide dans votre tête, réfléchissez à ce que vous désirez réellement..."
Lire ça dès le réveil, franchement ça donne envie d'aller vite de recoucher.. =(
Vendredi 24 novembre 2006 à 23:06
((Merci à lui de m'avoir aider à me comprendre))
Les yeux brulants d'avoir trop pleuré .
J'ai fini par comprendre, me comprendre . J'ai fini pas te l'écrire, me l'écrire . J'ai chercher la cause de tout ça sans la trouver . Mais maintenant je le sais . J'ai peur de mon avenir, mais surtout du notre . J'ai peur de ce grand voyage vers une mort certaine c'est sure . Mais ce dont j'ai le plus peur c'est que tu ne sois plus là pour le vive avec moi . Plus de Nous pour affronter la Vie : je ne l'accepte pas . On c'était promis 111ans . J'veux juste tenir ma promesse . . C'est certain que je n'ai pas mesurer les concéquenses de tout ça . Mais expliquer ce qu'on ne comprend pas, ce n'est pas si simple .
Au fond c'est pas de l'Amour, c'est beaucoup plus . . et je ne m'imagine pas sans Lui et donc sans Toi .
Vendredi 24 novembre 2006 à 18:31
Tu crois que ça existe ceux qui ne songent pas . Ceux qui se penchent trop sur le pont . Et qui ont beau se regarder dans l'eau salée . Ne voient pas le reflet d'eux même . Même en étant bien inspiré . Même en se sachant existant . Existe-t-il celui qui ne se voit ? Tu crois qu'ils passent à côté du monde . Mais c'est à côté de leurs basckettes qu'ils sont . Tu les vois toi ? Tu te vois toi ?
**
Vendredi 24 novembre 2006 à 6:39
Dieu . . nan mais sans blague il ne manquais plus que ça . Un retour à la source . Wouaou . Dieu proposerais ses échanges et services . Mouai . M'enfin désolée hin j'suis pas croyante . Et sur ce point il va falloir être persuasif . Une secte pour fous bonjour . Nan mais sans blague vous y croyer vous ? Réincarnation de DeusDeus . Oh year quoi . C'est funny . Va falloir s'inscrire rapidement là . Parce que en plus ça devient populaire ! Youpi ya youpiyoupiya youpi year . .
[ Bah quoi si on a plus le droit de craquer en ce bat monde ]
[ Nan mais sans blague ]
Jeudi 23 novembre 2006 à 19:51
Ca y est c'est décidé . Je suis un tube . Un tube digestif . Vivant mais mort . Qui ne pense pas . Qui ne ressent rien . Plus rien . Aucune envie . D'aucune sorte . Parce qu'un tube qui pense fait mal . Il fait mal parce qu'il a mal . Mais maintenant on s'en fou . Vu qu'il ne pense plus . Il ne veut plus penser . Il a juste cette putain de volonté . Faire le vide . Reprendre tout à zéro . Refaire ses choix . Mais sur ce chemin, il devient autre chose . Une chose invraisemblable . Peut-être immonde . Qui tue avec des mots . Oui parce que les mots tuent . De nos jours ça ne parait même plus bizarre . Mais ce tube lui ne veut plus tuer . Plus jamais parce qu'il l'a déjà fait . Avant . Mais qui pourrait comprendre un tube ? Qui se tait, qui n'ose . Parce qu'il a osé oui . Avant . Mais il c'était promis de ne plus recommencer . Mais il y a tellement de choses qu'il a du mal à digérer avec le temps . Il est devenu difficile . Ce vieux tube . Tout rabougri sur lui même . Il n'accepte plus le temps maussade le l'hiver . Avec tous ses souvenirs . Et que tout recommence comme Avant . Nan . Ça, il l'accepte encore moins . Alors il fait la bulle ce tube . Il se tait et réapprend à écouter . Parce que là, écouter, il l'a oublié en chemin . Il fait demi-tour . Sur se chemin sombre . Il espère le voir briller . Comprendre ce qu'il a laissé passer . Réparer les pots cassés . Une chose est sure c'est qu'en revenant, il se taira, il écoutera, et il changera .
(( On me voit ))
Jeudi 23 novembre 2006 à 6:52
Je déteste l'odeur de la laine mouillée.
C'est un fait en effet.
J'aime la pluie, oui mais quand ça va vraiment pas.
L'orage est plus décisif en tout cas.
Tu me crois pas?
Et bien met toi sous un arbre..
Et tu verras..
((non pas du touut ce n'est pas morbide arrètez --'))
Mercredi 22 novembre 2006 à 18:46
Qui suis-je pour juger le monde?
Personne.
Alors je ne le jugerais plus.
Pensons simplement à l'Avenir.
Et qui sait ce qu'Il nous réserve..
* Mon Nom Est Personne *
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New style bloguien à partir d'ici ^^
Mardi 21 novembre 2006 à 20:29
Parce que personne ne s'écoute ni ne se comprend plus, chacun ses sentiments, chacuns ses intéret, et chacun sa merde. Parrait qu'on l'ouvre pas assez.. bon et bien ok on va jouer a un jeu beaucoup plus amusant, se taire c'est hurler, les regards en disent plus que les paroles de toute façon.
Y'en a qui sont soulés, oui d'entendre les autres qui leur disent leur vérité a voix haute, de toute façon c'est de l'expression écrite ou rien.. alors écrivons, dépouillons nous sur nos claviers puisqu'il n'y a plus que ça a faire.
On a qu'a se dire tout et nawak, on pourra bloquer les commentaires et mette de la couleur.. mais la vie c'est pas comme sa.. elle a pas de couleur, on est obliger découter les arguments des autres et si on dit ou pense nawak et bien on se le fait remarquer.. sisi.. j'veux plus etre méler a tout ça, j'ai perdu un an à causes de conneries débiles, alors et bien j'irais vers ceux en qui j'ai le plus confiance parce que aller vers ceux qui compte c'est importan, bah si, ça j'le pense, et on peut pas bloquer les commentaires du monde toute sa vie..
Le temps passe les gens changent mais si on s'y attend pas ça fait mal,très mal, et j'veux plus avoir mal à cause des autres plus jamais..